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Au gre de mon temps, ...
17 avril 2006

Ma celtic Summer se termine

Voilà, ma beauté est entière,

Je vous laisse l'admirer:

En fin de compte, mon choix s'est porté sur un bouquet de roses jaunes et roses plutôt que le panier d'origine.

Je n'avais pas pratiqué la broderie au rubans depuis un moment. Dommage, je n'ai pas de rubans oranges, j'ai donc mis du rose pour contraster avec les jaunes.

Voilà, c'était la touche finale.

Aujourd'hui, je sors mes cartons, mes accessoires, mes feuilles de couleurs et me lance dans son encadrement.

A bientôt pour la photo finale.

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16 avril 2006

Les cloches sont passées

Malgré notre réveil aux aurores (enfin, il faisait déjà bien jour à 6h 15), il a fallu attendre 10h pour pouvoir aller chercher ce que les cloches nous avaient destinées.

Après une recherche fructueuse dans le jardin, la Miss de la maison, nous a ramené ceci:

Donc, vous voyez, tout va bien. Les cloches de Pâques passent aussi en Polynésie.

 Et c'est pas p'tit minou qui me contredira!

14 avril 2006

un week end Pascal

Aujourd'hui, Vendredi Saint est férié et chomé en Polynésie Française.

Nous voilà donc avec un week-end de quatre jours.

Ça sent bon la plage et les ballades.

13 avril 2006

la suite de ma petite visite

Beaucoup de bijous qu'ils soient en perles noires, en nacre finement cisellée ou un mélange des deux ou encore en os délicatement sculpté. Un choix s'avère difficile.

Le travail tout en finesse est de toute beauté autant par l'originalité des modèles que par l'éclat des matières, des couleurs.

Des produits de beauté et leur préparation à base de Monoï: lotions, huile, crème de soin, shampoing, etc ... et les savons de Tahiti aux mille parfums.

Voilà, j'ai rencontré des gens passionnés, très accessibles.

J'ai rempli tous mes yeux ..... Vous aussi , j'espère.

Vivement l'année prochaine.

 

12 avril 2006

Une visite s'imposait

     

Le week end dernier, je suis allée faire ma curieuse au 6ème salon de " Made in Fenua", le premier pour moi. 

Salon où une soixantaine de créateurs du Fenua ( prononcé Fénoua : terre, île, pays) s'exposait et permis de faire quelques photos.

Je ne vais pas vous en dire plus, mais je vous laisse plutôt regarder:

Coté vêtements: leurs motifs, leurs couleurs éclatantes qui donnent toujours cette impression de gaieté, d'ensoleillement perpétuel.

Des occlusions couleurs pays, aux tissus peints aux diverse huiles locales, en passant par les lampes et abat-jour, les nacres gravées, on peut dire que le fenua regorge d'artistes riches en création et savoir faire.

A demain pour la suite    

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11 avril 2006

Ma celtic Summer

Ça y est, je vous laisse découvrir la suite. Bientôt une photo d'ensemble,  promis!

C'est vrai qu'avec son visage, elle parait beaucoup plus attractive. J'aime les visages de cette créatrice.

Ils sont toujours doux avec une expression de sérénité très reposante et attirante.

J'ai fini de poser les perles sur la robe et les cheveux.

La robe est presque terminée. Reste le jupon qui dépasse à broder. Quelques blancs par-ci, par-là, mais il me manque du fils . Une commande que j'attends depuis fort longtemps et qui ne devrait plus tarder à arriver. Du moins, je l'espère ...

J'ai toujours utilisé des perles à broder Mill Hill: à broder parce que bien plus petites (voir minuscules) que celles utilisées pour les bijoux très à la mode. Elles sont bien finies et se vendent en petites quantités. Les couleurs sont belles et ne ternissent pas dans le temps. De plus,  la collection est conséquente.

Après les perles, il me reste à voir ce qu'elle va tenir à la main : le panier de la grille d'origine ou ....

Mais, je vous reparlerai de tout ceci, bientôt.

10 avril 2006

un bien étrange bus

Demain, c'est promis, je vous parle de ma Celtic Summer.

En attendant, une petite touche d'exotisme pour démarrer cette semaine: je vous parle aujourd'hui, d'un transport en commun, pas commun du tout.

A l'île Maurice, j'étais déjà monté dans leurs bus (prononciation à l'anglaise), enfin plutôt des cars. Comme il y en avait en métropole quand j'étais petite, avec des sièges en cuir ou l'on sentait plus l'assise que le cuir qui les recouvrait. La barre de ferraille du siège de devant que l'on tenait,  non pas par coquetterie mais pour se maintenir à peu près à la même place pendant tout le trajet. Ils roulaient à une vitesse folle et leurs routes étaient souvent très mauvaises. On était très secoué pendant nos trajets. Cela faisait beaucoup rire ma fille qui n'avait qu'alors 3- 4 ans. Elle adorait cela et s'en souvient encore.

Je passe sur les taxi-brousse à Mayotte, pas de bus là bas enfin à notre époque.

Je reviens donc à une sorte de bus que je n'avais jamais vu ailleurs. Ceux que l'on croise à Tahiti.

On les appelle " Truck ".

 

A l'avant, le chauffeur (propriétaire de son truck, d'après ce que l'on m'a dit) est complètement séparé des passagers.

Une cabine pour les passagers en bois est fixée sur l' essieu. Des fenêtres et une porte arrière qui sert de sortie de secours, sont en plexiglas. Restent, à l'intérieur, les bancs latéraux sur toute la longueur de cette cabine, qui reçoivent les passagers.

Il suffit bien souvent de faire signe pour qu'ils s'arrêtent.

Pour une somme unique (environ un euro et la moitié pour les enfants), vous grimpez, vous vous asseyez et en route pour le trajet que vous voulez. Ils transportent les particuliers mais servent aussi de transport scolaire.

On les voit en masse à Papeete et un peu partout d'ailleurs.  A Punaauia( prononcé Pounaouïa), ils font un arrêt en masse, un spectacle à part entière.

Mais, à certaines heures sur les grands axes, on voit de plus en plus de bus modernes. Les derniers arrivés sont même climatisés :

Il est question que le parc de Trucks soit remplacé petit à petit.

C'est vraiment dommage pour le folklore mais Modernisme quand tu nous tiens.

9 avril 2006

Faut pas croire

Il ne faut pas croire que l'on vit au paradis dans des paysages comme cela tout le temps:

Après notre baignade dominicale ce matin au lagon, j'ai été réveillé pendant ma sieste, cet après-midi, par ceci:

   

Nous avons eu le droit un bon quart d'heure d'arrosage intense.

Pas question de trainer dessous, à moins d'avoir besoin d'une bonne douche tonifiante.

7 avril 2006

mes accessoires (suite)

Mes boites en plastique.

Il y a plus de huit ans maintenant, j'ai opté pour le rangement de mes fils DMC, un roulé sur cartonnettes qui sont rangées dans des grandes boites compartimentées en plastique transparent.

Par la suite, j'ai trouvé en Bretagne, des modèles plus petits, bien pratique pour mes en-cours.

Des petites boites que je traîne partout. Elles sont pratiquent, passent partout.

De plus, un des compartiments est plus large. J'en profite pour glisser mon coupe fils, mes aiguilles, etc...

Mon petit coussin pour aiguilles,

En fait, j'en ai plusieurs. Mais celui- ci est le dernier que j'ai réalisé : exercice pour les débutantes de la section Point de croix de mon bourg que j'avais lancé, il y a quelques années.

Une valisette en tissu.

Pour mes déplacements : pour mettre tout mon bardas, très pratique pour aller au club, à la plage, chez le médecin, bref partout. Mais, Je vous rassure, je ne l'ai pas sous mon lit la nuit.

Voilà, j'ai fait,  je pense, le tour de mes petites affaires. Quelques petites choses indispensables qui sûrement s'étofferont dans l'avenir!!!!

6 avril 2006

mes accessoires

Je vous montre une autre partie de mes indispensables :

Les aiguilles:

Les miennes  sont toujours à bout rond, je ne sais pas faire du point de croix ou du point - compté avec des aiguilles pointues. J'utilise les tailles 24 - 26 suivant la toile à broder.

Pour les perles Mill Hill, j'utilise des longues aiguilles, tellement fines que je les enfile avec un passe- fils.

Mon Clover (du moins, moi, je l'appelle comme cela: c'est écrit dessus).

C'est mon dernier achat. Vous savez cette petite chose avec des encoches tranchantes, qui permet de couper les fils sans ciseaux. J'avais un voyage en avion à faire à l'autre bout de la Terre, pour rejoindre mon DH, et pas le droit d'amener des ciseaux en cabine. Difficile de broder sans.

 Mon, ou plutôt, mes cercles à broder.

Je fais partie de ces brodeuses qui ont appris à manier leur aiguille sur une toile tendue, mais pas trop, par un cercle à broder.

J'en ai trois en bois , dont un depuis l'âge de douze ans quand j'ai appris la broderie classique avec maman. Il est vieux et ne sert plus très bien, mais je répugne à le jeter. Les autres ont été achetés au fil du temps.

Il y a deux ans, maintenant, je les ai lâchement remplacés par le modernisme. L'achat d'un cercle en fer  rose et un peu plus tard un autre vert à serrage rapide. Car, je l'avoue, je travaille toujours  au moins deux ouvrages en simultané : ma parade pour casser la lassitude des projets de longue haleine quand je commence à saturer.

 A l'époque, on en trouvait au compte goutte dans les rares salons de l'ouest de la Françe. Aujourd'hui, on en trouve même à la mercerie à Papeete, et Dieu sait qu'ils n'ont quasiment rien ici pour satisfaire une brodeuse comme moi.

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