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Au gre de mon temps, ...
notre vie a tahiti
13 avril 2006

la suite de ma petite visite

Beaucoup de bijous qu'ils soient en perles noires, en nacre finement cisellée ou un mélange des deux ou encore en os délicatement sculpté. Un choix s'avère difficile.

Le travail tout en finesse est de toute beauté autant par l'originalité des modèles que par l'éclat des matières, des couleurs.

Des produits de beauté et leur préparation à base de Monoï: lotions, huile, crème de soin, shampoing, etc ... et les savons de Tahiti aux mille parfums.

Voilà, j'ai rencontré des gens passionnés, très accessibles.

J'ai rempli tous mes yeux ..... Vous aussi , j'espère.

Vivement l'année prochaine.

 

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12 avril 2006

Une visite s'imposait

     

Le week end dernier, je suis allée faire ma curieuse au 6ème salon de " Made in Fenua", le premier pour moi. 

Salon où une soixantaine de créateurs du Fenua ( prononcé Fénoua : terre, île, pays) s'exposait et permis de faire quelques photos.

Je ne vais pas vous en dire plus, mais je vous laisse plutôt regarder:

Coté vêtements: leurs motifs, leurs couleurs éclatantes qui donnent toujours cette impression de gaieté, d'ensoleillement perpétuel.

Des occlusions couleurs pays, aux tissus peints aux diverse huiles locales, en passant par les lampes et abat-jour, les nacres gravées, on peut dire que le fenua regorge d'artistes riches en création et savoir faire.

A demain pour la suite    

10 avril 2006

un bien étrange bus

Demain, c'est promis, je vous parle de ma Celtic Summer.

En attendant, une petite touche d'exotisme pour démarrer cette semaine: je vous parle aujourd'hui, d'un transport en commun, pas commun du tout.

A l'île Maurice, j'étais déjà monté dans leurs bus (prononciation à l'anglaise), enfin plutôt des cars. Comme il y en avait en métropole quand j'étais petite, avec des sièges en cuir ou l'on sentait plus l'assise que le cuir qui les recouvrait. La barre de ferraille du siège de devant que l'on tenait,  non pas par coquetterie mais pour se maintenir à peu près à la même place pendant tout le trajet. Ils roulaient à une vitesse folle et leurs routes étaient souvent très mauvaises. On était très secoué pendant nos trajets. Cela faisait beaucoup rire ma fille qui n'avait qu'alors 3- 4 ans. Elle adorait cela et s'en souvient encore.

Je passe sur les taxi-brousse à Mayotte, pas de bus là bas enfin à notre époque.

Je reviens donc à une sorte de bus que je n'avais jamais vu ailleurs. Ceux que l'on croise à Tahiti.

On les appelle " Truck ".

 

A l'avant, le chauffeur (propriétaire de son truck, d'après ce que l'on m'a dit) est complètement séparé des passagers.

Une cabine pour les passagers en bois est fixée sur l' essieu. Des fenêtres et une porte arrière qui sert de sortie de secours, sont en plexiglas. Restent, à l'intérieur, les bancs latéraux sur toute la longueur de cette cabine, qui reçoivent les passagers.

Il suffit bien souvent de faire signe pour qu'ils s'arrêtent.

Pour une somme unique (environ un euro et la moitié pour les enfants), vous grimpez, vous vous asseyez et en route pour le trajet que vous voulez. Ils transportent les particuliers mais servent aussi de transport scolaire.

On les voit en masse à Papeete et un peu partout d'ailleurs.  A Punaauia( prononcé Pounaouïa), ils font un arrêt en masse, un spectacle à part entière.

Mais, à certaines heures sur les grands axes, on voit de plus en plus de bus modernes. Les derniers arrivés sont même climatisés :

Il est question que le parc de Trucks soit remplacé petit à petit.

C'est vraiment dommage pour le folklore mais Modernisme quand tu nous tiens.

9 avril 2006

Faut pas croire

Il ne faut pas croire que l'on vit au paradis dans des paysages comme cela tout le temps:

Après notre baignade dominicale ce matin au lagon, j'ai été réveillé pendant ma sieste, cet après-midi, par ceci:

   

Nous avons eu le droit un bon quart d'heure d'arrosage intense.

Pas question de trainer dessous, à moins d'avoir besoin d'une bonne douche tonifiante.

29 mars 2006

Tahiti que j'aime

Hourra!!

Enfin, la rue est terminée.

Il faut que je vous situe d'abord mon monde : 4 servitudes (rue pour nous) formant deux U côte à côte et la dernière finissant sur un stop qui rattrape la route principale, parrallèle au lagon.

Petite douceur, en arrivant au stop : vue imprenable sur le lagon. Difficile de ne pas le marquer!

en1t

Avant notre arrivée en novembre dernier, mon mari m'avait déjà annoncé qu'ils étaient en train de faire la rue. Cela faisait déjà quelques temps que les travaux duraient d'après la proprio mais que tout cela  allait être bientôt terminé. Bientôt terminé : décidément, nous n'avons pas la même notion du temps.

Après deux mois supplémentaires de bruits, de réveils brutaux à coup de machines infernales qui font vibrer le sol dès 6h30 du matin mais qui, une demi heure plus tard font déjà la pose, le balai incessant des camions pour terminer la servitude 1 (celle du stop: ..... vous suivez?) toute belle, fraîchement goudronnée, ils sont enfin!!!  arrivés au tassement final de ce qui allait être notre rue.

Super, ils allaient goudronner...

Et bien NON ! que Nenni.

C'était leur cadeau de Noël :plus de nids de poule!! Vous savez ces trous sur une piste, ceux que vous évitez: un coup de volant à droite, un coup à gauche, je passe au-dessus ou dedans. Ceci à chaque fois que vous devez sortir ou rentrer de chez vous. Super en 4x4, mais nous, on a oublié d'en acheter un. Et je ne vous parle pas des jours de pluie...

Merci Père Noêl.

Après ces faux espoirs, pause congé annuel ! les machines pour goudronner sont parties et ne sont revenues que ... fin de la semaine dernière : 3 mois plus tard.

Il faut dire qu'entre temps, nous avions appris que le propriétaire d'une des 4 servitudes s'était mis enfin d'accord avec la mairie. Donc les travaux de terrassements de sa servitude avaient débuté et que tout serait bitumé en même temps. Pas demain quoi!

la troisième servitude ne sera pas faite. Ce sont quasiment des chemins privés. Pour pouvoir en arriver au goudron, il fallait qu'ils deviennent publiques et pour cela ils doivent répondre à certaines normes (largeurs, accès, etc...), d'où refus, voir conflits avec certains propriétaires terriens qui ne veulent pas lâcher du terrain.

Bon, je ne vous fait plus languir, regardez:

    

Elle est magnifique, n'est ce pas!!!

Je voudrais quand même tirer mon chapeau à ces hommes qui bossaient sous plus de 31°.

Et pour ceux qui ont le regard bien aiguisé, ils nous ont mis des dos-d'âne, tous les 30m en gros, pour casser la vitesse: 3 à 4 par servitude.

Quand on sait que pour en avoir un en face de l'école municipale de notre Bourg, en métropole (bon d'accord, il fait le double de longueur de ceux - ci), il a fallu 1 an de palabres avec la mairie et 6 mois de plus pour le réaliser, ici, je leur tire mon chapeau.

Décidément nous ne vivons pas sur la même planète.

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20 mars 2006

un jour de rentrée

Aujourd'hui, l'école a repris.

Après 3 semaines de vacances et de baignades régulières au lagon,

Une certaine routine a repris. C'est un peu déprimant.

Dur, de se réveiller de nouveau avec la sonnerie du réveil!

Allez, ouste dans la voiture, ma fille  avec un " je veux pas aller à l'école ". Je m'en doute!

Et moi, en route pour le club de Points de Croix, j'ai plutôt le sourire.

Revoir les copines, après tout ce temps, on a sûrement un tas de choses à ce dire....

C'est promis, demain, je vous parle de ma "Celtic summer".

 

14 mars 2006

ma vie lointaine

Je dois d’abord vous dire que mes jours sont vos nuits.

J'ai quitté ces dix dernières années ma Bretagne natale pour deux séjours en outre-mer:

carte1D'abord quatre années sur l'île de la Réunion où, il faut le dire, malgré le changement de vie radicale( climat, mentalité, façon de vivre), j'ai passé de très belles années sur une île magnifique. Ce séjour fut une révélation sur le fait de vouloir repartir vivre ailleurs si l'occasion s'offrait à nous un jour. 

 Cinq ans plus tard, nous voilà en route à nouveau mais pour la Polynésie Française cette fois-là, et plus exactement pour Tahiti.

Je suis donc à 11 heures et à la fin du mois douze heures de décalage horaire par apport à la métropole( la France comme on l'appelle ici): changement d'heure d'été en métropole oblige.

Et puis, comme je brode depuis un certain nombre d'années et que j'ai amené dans mon déménagement de quoi m'occuper pendant de nombreuses années( oups!), je vous montrerais tout cela au fur et à mesure.

Il m'a fallu faire un choix au moment de déménager, j'ai laissé dans mon garde meuble un certain nombre de mes ouvrages finis. Aujourd'hui avec ce blog, je regrette de ne pouvoir vous les montrer.

Je vous laisse car pendant ce temps-là, ma "Celtic Summer" n'avance pas: cadeau d'anniversaire pour ma mère en juin.

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