Non, vous ne vous êtes pas trompés d'adresse. C'est juste que j'arrive à mon centième article et j'ai décidé d'améliorer la présentation. Enfin, si j'en arrive au bout, un jour...

Si vous trouvez que quelque chose ne va pas,  n'hésitez pas à me l'écrire.

J'ai beaucoup sué (au sens figuré, ici, nous sommes en hiver), râler ( quoi, vous ne m'avez pas entendu!).

J'ai failli abandonner plusieurs fois, heureusement DH prend le relais à ce moment là et à deux, on finit presque toujours par trouver une solution.

Enfin, l'ensemble me satisfait pour un début, j'espère que vous aussi, vous prendrez plaisir à  lire ou relire ce blog.

Quand à moi, je retourne enfin à mes p'tites croix.

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de mon Papa.

Mon vieux Papa, ça l'a fait rire  quand je lui est dit ça au téléphone.

Et oui, cette année, il ne soufflera pas les bougies de son gâteau d'anniversaire avec nous : 17 000 km nous séparant.

Il vient d'avoir 72 ans, il ne change plus beaucoup physiquement . Ce n'est que quand arrive son anniversaire que je me rends compte que le temps passe pour lui aussi

Il vit dans sa Bretagne Natale avec ma Mère, et oui, ces deux là sont mariés depuis...., on ne compte plus les années....  mais ça doit faire 44 ans cette année. Ouah!!!J'espère que cela m'arrivera aussi.

Encore de très gros bisous. 

Je vous montre quelques réalisations d'une amie. Elle n'a pas de blog et sera, je pense, très contente de voir ses photos sur le mien.

Elle s'est mise à "servietter" avec passion:

J'ai oublié de vous dire, c'est une bretonne, mais peut être l'aviez-vous compris.

Que ce soit sur ardoise peinte ou sur pot de ferraille en tout genre, je trouve tout très beau, Bravo

Aujourd'hui, j'ai découvert le cristal d'eau.

Pour celles qui n'en ont jamais entendu parler. On en trouve dans les salons de loisirs créatifs sous forme de kit comprennant deux flacons de cristaux et des colorants.

Après gonflage de plusieurs heures dans de l'eau, on obtient des gros cristaux tout mous complètement transparents (ma bassine est verte). Ils ne restent plus qu'à les colorer. Place à l'imagination avec quelques gouttes de colorants.

Et le résultat est là:

Les couleurs vont se fondre petit à petit en donnant des dégradés de plus en plus beaux, à ce qu'il parait.

Sur les hauteurs de Punaauia à Tamanu, un plateau porte le nom de Plateau des Orangers. Ce sera une des prochaines randonnées de DH, donc, je vous en reparlerai.

Ce plateau était fêté le week end dernier sur le site de la mairie.

Outre la possibilité d'acheter ses fameuses oranges, cette fête nous a permis de découvrir, à travers un film, la vie de ces hommes  qui travaillent dans des conditions très rudes pour cultiver, récolter et surtout descendre ces oranges d'un plateau accessible qu'après une marche de cinq heures.

Cette fête était aussi prétexte à diverses démonstrations de sports tahitien qui donnent lieu tous les ans, au moment du Heiva à des tournois au même titre que le va'a.

Tout d'abord, le lancet de javelots. La cible à atteindre est une noix de coco montée sur un mat  à 9 mêtres de haut et à 25 mêtres des concurrents.

Suivait une démonstration de portées de pierres tarées à 70, 100 et 120 kg ainsi qu'une course de porteurs de bananes:

Voilà pour la partie très sportive de cette fête.

A demain pour la suite.

Et oui, finie la belle vie!

Heureusement que le soleil brillait dans le ciel sans nuage de Tahiti à notre atterrissage un peu de réconfort en cette fin de voyage. Mais qu'est ce qu'on fait là!!!

Terminés les îles magnifiques et leur beau lagon aux couleurs exceptionnelles.

Souvenir déjà, Bora et notre l'hôtel quatre étoiles. Et oui, quitte à être à Bora autant en vivre le plus beau côté, la chaleur de l'accueil, le sourire polynésien, le service luxueux et irréprochable, les buffets somptueux, le cadre idyllique pour des vacances de Rêves.

Tant pis pour les détracteurs de ce genre d'hôtel ainsi que pour notre bourse, mais pour une fois...

Bora vu d'avion à notre arrivée: une grande île principale entourée d'un vaste lagon qui est bordé en grande partie par des Motu.

L'hôtel qui nous accueillait était à droite du Motu Piti Aau et vu d'en haut, ressemblait à cela:

L'aéroport est sur un motu aussi.

Ici, pas de parking, de taxis pour prendre les arrivants, juste un quai avec toutes sortes de bateaux venant de toute part du lagon à chaque arrivée d'avion.

Une couronne de fleurs passée autour du cou pour la bienvenue et en route pour l'hôtel.

Et oui, avec tout le chanboullement de la rentrée scolaire, j'ai failli oublier l'anniversaire de DH. Je sais, je suis impardonnable.

Il a fallu que je trouve la BAL rempli de E- carte pour me rappeler pourquoi.

Il faut dire qu'il s'est toujours arrangé pour ne jamais travailler le jour de son anniversaire. Un 9 août, c'est plutôt facile. La plupart du temps, il est en vacances d'été.

Et pour la première fois de sa vie, il est parti au boulot ce matin. C'est pas si mal en 49 ans.

M'est d'avis qu'il va être fatigué ce soir le pôvre chéri.

Sur notre motu, les résidents de l'hôtel étaient attirés que par le côté calme et idyllique du lagon et on les comprend.

J'aime quand je pars en vacances, voir les autres côtés moins enchanteurs, ceux qui parfois déçoivent ou surprennent.

Nous, nous voulions voir l'Océan Pacifique de près. Nous avions bien essayé plusieurs fois de trouver un chemin mais tous tabu (prononcé tabou, interdit) au public et comme nous sommes bien élevés et en terrain inconnu...

Après renseignement pris au près de la réception, nous voilà enfin longeant un chemin, en fin d'après-midi, tout droit vers la mer qu'on voit vaguement au loin.

Le paysage n'a rien de paradisiaque, il fait chaud tant mieux, ici c'est battu par le vent.

Des piscines naturelles se sont formées dans le platier:

très habitées:

Aussi sauvage, aussi ventée que ma côte bretonne. Un jour, je vous la montrerai.

Retour au bungalow pour un dernier bain avant la nuit. Ce soir: spectacle de danse.

Une belle plage de sable noir en descendant vers le sud ouest de l'île qui dégage de la chaleur sous vos pieds même si comme ce jour-là, le soleil était plutôt caché.

Loin des plages que nous avons l'habitude de fréquenter, elle est balayée par les vagues, un petit coin de paradis pour les surfeurs.

Nous, plus sagement, nous avions déjeuné dans le petit resto de la plage tout en admirant ce spectacle .

Tartare de thon pour DH; thon cru au lait de coco pour moi.

Je vous montre:

De partir en vacances.

Et oui, c'est parti pour deux îles de rêves, surtout s' il fait beau.

La première mythique, celle que l'on appelle la perle du Pacifique: Bora Bora.

A 260 kilomètres de Tahiti, nous atterrirons sur un motu( en bas à gauche) pour nous diriger par le lagon sur un autre motu pour notre séjour.

L'autre île plus petite, dont on dit qu'elle n'a rien à envier à sa grande soeur et voisine: Maupiti à 316 km de Papeete et à 40 km de Bora.

La "punition" sera identique, atterrissage sur un motu pour séjourner sur un autre motu. Maupiti, la calme, la sauvage qui a su se préserver.

Bien sûr, je vous montrerai tout cela, mais pour l'instant...

Place aux vacances

L'île de Maupiti ressemble par bien des côtés à celle de Bora. Une île principale, un lagon et des motu plus ou moins longs presque tout autour. Ah oui, notoriété et grands hôtels en moins.D'ailleurs, il n'y a pas de grands Hôtels à Maupiti.

Ici, la vie est simple et tranquille. Sur notre motu, générateurs pour l'électricité, le bateau remplace la voiture. Le poisson est presque toujours au menu.

Nous avions choisi une pension sur un motu. Mais hélas, nous n'avions pas choisi la meilleure des périodes. La pension était bombée par la famille des propriétaires en plus des touristes.

Le manque de chaleur à l'arrivée sur le motu, le bungalow retenu avec vue sur le lagon qui... avait été loué deux fois,... et qu'il a fallu attendre deux jours pour récupérer. En attendant direction une chambre dans une maison au fond du jardin, salle de bain à l'eau froide à partager, grrrr! Les joies de la Polynésie profonde?

Et pour finir, Air Tahiti nous a égaré une valise pendant  ces deux même jours.

Même si la réduction et indemnités reçues de l'un et de l'autre ont été honorables, cela nous a quand même un peu gâché notre séjour à Maupiti. Heureusement, nous n'étions pas là que pour deux jours.

Mais bon, cela dit, il y eut des compensations pour les pauvres touristes que nous étions:  l'île était de toute beauté, notre motu aussi et la cuisinière de la pension hors pair. J'ai gouté à toutes sortes de plats traditionnels, pauvre de moi qui mange à la maison toute l'année.

Les autres pensionnaires vraiment très sympas, dont un couple de Suisses (bonjour la Suisse) qui faisait un voyage d'une dizaine d'îles à travers la polynésie pendant un mois.

Tout drôle de parler de montagnes et de neige à table sous le "Fare Pote" un soir de juillet au bord du lagon.

Voilà après un week-end de dur labeur, mon coffre est fini.

La partie basse:

Le battant:

Le plus dur a été de garder la continuité du motif entre la partie basse et le couvercle tout au tour lorsqu'il est fermé.

L'interieur du battant est assorti au fond intérieur.

Il est tout beau, sent neuf et va pouvoir abriter pendant de longues année encore mes trésors de broderies.

Pas tout seul sur le lagon ce dimanche.

C'est toujours avec ravissement que nous partons pour la journée en bateau, programme, bains, barbecue sur l'eau et encore bains à volonté.

Super agréable cette journée, du soleil mais pas trop, chance!

Moins "nature" certaines vues que l'on a sur les hauts de Papeete ouest en rentrant.

Enfin, les goûts et les couleurs....

Nous avons retrouvé un énorme paquebot à quai, le "Sun Princess" qui faisait escale avec un peu plus de trois mille personnes à son bord.

Là, je me moque de moi. J'ai commencé, il y a quelques semaines le pastel.

Je n'aurai jamais imaginé pouvoir réussir à étaler des couleurs avec les doigts et me retrouver avec quelques choses comme cela:

Mon choix pour débuter s'est arrêté sur une huile sur toile de "Christian Deloffre" de 1997  intitulé "Cascade".

J'ai juste reporté à main levée les traits de la belle vahine. Les couleurs à étaler font ce genre de merveilles.

Bon, il n'est pas fini bien sûr, les ombres et lumières sont à revoir, j'ai tout mon temps pour apprendre à le peaufiner. Mais je suis contente de moi pour un début.

Première semaine de vacances terminées.

Un évènement que l'on peut qualifier d'heureux s'est produit au grand soulagement de ma petite famille qui n'y croyait plus et qui va transformer nos vacances dans un premier temps et surtout notre vie : un déménagement.

Un fare(maison) plus grand, un voisinage beaucoup plus calme(nous croisons les doigts), dans un coin plus proche du boulot de DH et du collège de fifille. Enfin, l'espoir d'un mieux dans ce qui devrait être notre havres de paix et de tranquillité, notre maison.

De la faute de personne, trop de différences de culture, de façon d'être et d'agir, on quitte notre servitude(rue) sans regret en espérant une continuité de séjour beaucoup plus sereine là où nous allons poser de nouveau nos cartons.

Le temps d'être rebranché OPT (téléphone Tahitien) et surtout l'ADSL et je reviens vous tenir compagnie.

Bien sûr, en attendant, je pourrais toujours me rabattre sur la lecture du dernier Harry Potter avec ses 810 pages pour connaître la fin de l'épopée. Enfin, si j'arrive à piquer le bouquin à DH. Pas si simple, il va falloir ruser. Il est aussi accro que moi, le ptit mari (hi!hi!)

Bon, en attendant je retourne à mes cartons.

Faire, défaire, c'est toujours travailler!!!

Me voilà revenue, fatiguée mais contente de notre nouveau "Home", enfin pour l'instant. Des cartons un peu partout encore, mais je commence à souffler un peu. L'école a repris et le club aussi.

Un autre détail qui, ici a son importance, presque pas de ralentissement et encore moins de bouchon pour aller et revenir du collège, YOUPI, pourvu que ça dure!

J'ai aussi fini de dévorer Harry Potter, enfin le septième et dernier tome de ses aventures fantastiques. Pour les avoir tous lus, il est mon préféré juste derrière le tout premier.

Et pour finir, quelques photos.

Jeudi dernier pour changer des cartons une sortie lagon était prévue pour la journée.

En rentrant, nous avons pu suivre le départ de l' Esmeralda, un quatre-mats battant pavillon chilien qui a fait escale au port de Papeete pendant plusieurs jours.

Samedi soir, dîner-buffet-spectacle dans un restaurant sur pilotis,

un endroit typiquement polynésien,

toit en pandanus; lustres de coquillages; nappes à fleurs; orchestre;

un buffet excellent et copieux et pour terminer un service agréable et souriant.

Bref, tous les ingrédients pour une bonne soirée sans oublier le spectacle de danses traditionnelles.

Il est de tradition pendant le spectacle mais surtout à la fin que les danseuses invitent  quelques spectateurs. Il en va de même pour les danseurs qui eux sortent quelques spectatrices des rangs.

Et c'est comme cela que ma fille s'est retrouvée invitée sur la piste et est restée pour le final.

J'ai retouché mes pastels en cours et repris une nouvelle.

Mon sable moins blanc, les nuages très estompés, il n'y a plus non plus qu'un début d'amas de nuages autour des monts les plus hauts de l'île principale.

Comme en tableaux de sable, j'aime beaucoup les vahinés. Le problème est qu'en pastel les visages sont très difficiles à faire.

Donc pour l'instant, elles sont de dos.

Le village à vous montrer. Il est coincé entre le lagon et la montagne avec juste une rue principale tout du long.

Maupiti compte à peu près 1100 Habitants en tout ( île principale et les motu), c'est à dire la population de mon petit bourg en Bretagne.

Le village d'aujourd'hui s'étend de Farauru au Nord à la sortie de Vaiea au sud-est.

Que serait un village sans maisons, sans jardins. Beaucoup de maisons ont été détruites par les cyclones et de nouvelles maisons ont fait leur apparition. Plus modernes sur pilotis, elles peuplent le village

Je finis par une autre particularité îlienne. En France-métropolitaine, des cimetières existent pour nos défunts, ils entourent encore souvent les églises.

A Tahiti, ils ne côtoient pas les églises mais de grands cimetières sont apparus au fils du temps. Sur les îles par contre, je n'en ai jamais vu. Nous avions déjà à Huahine constaté des tombes dans les jardins.

Très fleuries, elles se fondent et côtoient en parfaite harmonie les maisons. Maupiti ne faillit pas à la règle.

Voilà, pour l'île principale, nous nous retournons sur notre motu. Demain, nous intégrerons notre bungalow - eau chaude( ça c'est dur de s'en passer) - vue sur lagon (lol).

Qu'est ce que vous voulez, on ne se refait pas!

Noël arrivant à grand pas, je fais comme beaucoup d'entre vous, mes achats de noël.

Parmi ceux-ci, je vous montre des nacres sculptées très répandues en polynésie:

Un livre aussi,

qui raconte la vie de deux bretons et leurs enfants qui sont venus au début du siècle dernier vivre une vie polynésienne, bien loin de notre vie d'aujourd'hui.

J'ai commencé à le lire, très agréable cette biographie écrite par leur petite-fille.

Après avoir été très absente pendant un moment sur mon blog, me voilà de retour.

Et oui, nous avons craqué et sommes rentrés en Bretagne pour les fêtes de fin d'années et un peu plus encore.

Voyages éreintants d'une longueur inimaginable. Je vous fais grâce de mes appréciations sur nos passages en douane à Paris, Los Angelles et Papeete.

Par contre le plaisir immense de "zieuter" par le hublot une bonne partie du trajet.

Voir Londres par temps clair, les Locks d'Ecosses, les neiges d'Islande,la banquise à l'infini du Groenland. Toute cette blancheur qui finit par faire un peu peur et que l'on dit en danger.

Les grandes surfaces enneigées du Canada et de l'Amérique du nord, les montagnes rouges et grands canyons, le désert de l'ouest américain et au bout du compte Los Angelles. Un peu plus de onze heures de vol régulièrement collés pour ceux qui veulent à leur hublot.

Nous avons toujours été dans la zone de jour pour notre voyage de retour avec en général beau temps donc un tour d'horizon des paysages terrestres que je n'ai, en temps normal, le loisir d'admirer qu'à travers la télé.

Le reste du voyage Los angelles-Tahiti ne se faisant qu'au dessus de l'Océan Pacifique avec ses huits heures d'avion et de nuit à chaque fois pour nous.

Voilà, je suis en plein décalage horaire et complètement "fiu"comme on dit ici.

Nous allons reprendre notre petite vie polynésienne et moi le cours de mon blog.

Avec la rentrée, je vais débuter un atelier de décopatch.

Aujourd'hui, j'ai commencé à démonter et peindre mon petit coffre:

Poncage, deuxième couche de peinture. Il y a de quoi faire avant le premier cours.

Ma fille aussi a décrété qu'elle avait besoin d'un quelque chose pour sa chambre. Elle a arrêté son choix sur un cadre:

Pour elle, ce sera les "Winx" des petites fées à la mode depuis un moment, pour moi des fleurs.

Après avoir fini de préparer les surfaces de mes futurs décopatch, et vu le temps, je n'ai pas pu m'empécher de commencer à découper et coller quelques douceurs pour le cadre de ma fille.

Voilà, quelques belles fées et des étoiles plus tard.

Ma fille est ravie du résultat et voulait l'embarquer tout de suite.

Attends, c'est pas fini! J'ai encore quelques couches de vernis-colle à appliquer et encore quelques idées pour finir.

J'ai aussi fait un coeur transparent en plastique avec des poinsettias.

Je pensais trouver plus dur de coller sur des surfaces non planes, et bien non. En fait, j'ai même trouver plus facile. Ici pas trop de découpage, mais du déchirage pour le fond. 

Un beau ruban pour le terminer et il ira rejoindre les décorations de noël l'année prochaine.

La première semaine de vacances scolaire a débuté après un peu plus d'un mois d'école. C'est aussi pour moi, la dernière semaine de calme  avant la reprise des activités du club.

Des nouveaux dans le quartier:

Et une dernière photo pour vous montrer à quoi ressemble un arbre à pain appelé ici Uru(ourou).  Je pense que l'on peut rapprocher la façon de cuisiner ainsi que le goût de ses fruits aux pommes de terre en un peu plus relevé.

C'est fou ce qu'il est grand, vu en photo. Pourtant, il est sous notre nez à longueur de temps mais sous un autre angle, il parait moins imposant. A sa gauche, quelques cocotiers  encore plus hauts qui nous font un mur de verdure en face de la maison.

Voilà, c'était la petite ballade entre filles et l'APN dans le quartier ce matin.

Après être arrivés au bout du motu, nous avons poursuivi notre promenade.

En chemin, il y eut ce poisson aux belles couleurs  qui gisait sur le sable. Il respirait à grande peine et ne pouvait de lui-même regagner son monde.

Je lui ai donné un petit coup de main et après quelques secondes, nous l'avons vu s'enfuir vers les eaux plus profondes du lagon.

Il a eu la chance de tomber sur nous et pas sur les jeunes gens de la pension que nous avons retrouvé près du ponton à nettoyer.... la pêche du jour.

Sur une note plus gaie, je finis par vous montrer quelques fleurs qui poussent dans le sable, ne sont-elles pas magnifiques!